Feuilles, pétales, corolles évoquent la succession des nombres de Fibonacci, le nombre d’or, jusqu’aux constructions spatiales illusionnistes impossibles, imaginées et calculées par l’esprit humain.

Depuis les simples lignes droites et de formes en spirale aux significations plus ésotériques que mathématiques, dessinées ou gravées sur les roches depuis les temps préhistoriques, on parvient, grâce à l’apport de la civilisation grecque, à une multitude de formes géométriques et de formules mathématiques, que l’on retrouve autant dans la vie quotidienne que dans la pensée philosophique la plus raffinée.

Le défi cognitif le plus fascinant du module consiste à examiner les cas emblématiques d’artistes qui ont eu des rapports volontaires et involontaires avec la mathématique en utilisant des logiques formelles et intuitives. En partant d’une approche concrète, les apprenants entreprennent un voyage partant d’hypothèses "disséminées" et diverses, mais où les arts, les sciences et les mathématiques convergent, grâce à l’intelligence humaine et à la connaissance.

Les dynamiques de ces disciplines sont des langages liés à la vie. Ce sont des moyens pour acquérir de nouvelles vérités inconnues, pour percer des secrets et résoudre des énigmes jusqu’à les transformer en pensée. En bref le module a offert des stimuli très enthousiasmants. Les apprenants adultes, très intéressés, ont produit des ouvrages sur carton, en étudiant le nombre d’or dans le pentagone et dans le triangle, en relation avec la couleur BLEUE comme vecteur.

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Valentino Montanari, SISAM, Ravenna, Italie