Nous avons encore dans les yeux le bleu total de Faro et du Parque das Nações de Lisbonne- une autre émouvante forme de bleu que cette mobilité nous a offerte.

Nous nous sommes réveillées un matin d’automne dans une plaine du Pô fantasmagorique dans laquelle les couleurs plus lumineuses semblent entrer en compétition les unes avec les autres : le bleu du ciel limpide en contraste avec le rouge doré du feuillage se posant sur les vastes étendues des prairies vertes.
Le bleu exprimé sous mille formes, a été notre compagnon officiel des journées portugaises et nous voulons le faire connaître (en power point) à nos associés de « La Sorgiva », avec le bleu de Grenade et avec le bleu de la Mobilité de Montecchio qui est encore inconnu au plus grand nombre.

En bref, ce bleu nous réserve toujours de nouvelles émotions, au fur et à mesure que nous poursuivons notre chemin, un parcours riche de stimulations, de recherches, de moments de partage que cette rencontre de Faro a ultérieurement favorisés, grâce à un bon programme de travail dans un cadre posé, dans un climat de disponibilité et de collaboration réciproque entre les partenaires.
Et grâce à l’accueil chaleureux de nos hôtes : Rosaria, Paula, Carlos Luis directeur de l’école AEJD et du délégué régional ; grâce à la coordination ponctuelle d’Aline, main de fer dans un gant de velours, grâce à l’assistance de Jean ; grâce à la présence convaincue et active de tous les participants, cette nouvelle étape des « Chemins du bleu » a rempli d’ultérieures suggestions notre besace de pèlerins européens.
Si ce partenariat se montre vraiment stratégique, transversal et transculturel, pourquoi est-ce que l’Europe ne peut pas toujours être comme ça ?

Avertissement : Chère Paula, nous te volerons beaucoup d’idées de votre exposition pour les reproposer dans notre exposition, celle que nous organiserons à la fin de l’année scolaire.

Naire Boniburini, Luciana di Nisio
Université Populaire La Sorgiva, Montecchio Emilia, Italie