Le vieux palmier prisonnier qui s’élance et veut fendre son écrin de verre. La serre humide et protectrice aux odeurs acres. L’arbre mort toujours vivant qui interroge et a trouvé refuge dans ce plus vieux jardin botanique du monde, impressionnée par ce jardin ancien, envoutant à taille humaine ou l’on se sent absorbé, presque avalé, sauvé..
Annick Le Caro